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Max Catrin

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Max Arthur Hector Catrin, né le 17 décembre 1921 à Résigny (Aisne), est un homme politique français.

Sommaire

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Biographie [modifier]

Carrière professionnelle [modifier]

Docteur en médecine, Max Catrin a exercé jusqu'à la fin de sa carrière comme oto-rhino-laryngologiste.

Carrière politique [modifier]

Membre du Centre national des indépendants et paysans, Max Catrin est conseiller municipal de La Garenne-Colombes de 1975 à 2002[réf. nécessaire]. Élu maire en 1975, il exerce trois mandats successifs jusqu'en 2001.

Conseiller général des Hauts-de-Seine (canton de la Garenne-Colombes), il préside au département la commission de l'équipement et de l'environnement. Il sera également vice-président de l'office départemental HLM, aux côtés de Jean-Paul Dova, et à la présidence du Satese (Service d'assistance technique aux exploitants de stations d'épuration), un organisme de contrôle des usines qui polluent les eaux.

C'est sous ses différentes mandatures, que la ville de La Garenne-Colombes deviendra une cité résidentielle appelée souvent le petit Neuilly. En deux décennies, cette commune a vu disparaître la quasi-totalité de ses activités industrielles au profit d'un boom immobilier.

En 1995, Jérôme Rivière présente sa propre liste soutenue par le RPR face à celle de la majorité municipale qu'il rallie pourtant au soir du premier tour[1][2]. La succession de Max Catrin en 2001 fut l'occasion de joutes inhabituelles dans cette commune. C'est Philippe Juvin conseiller municipal depuis 1983, puis maire-adjoint jusqu'en 2001 qui lui succèdera sous fond d'affaires et de polémique.[3],[4].

Prises de position et polémiques [modifier]

En 1991, Max Catrin fera débaptiser une des places centrales de la ville, qui portait le nom de Jean Baillet (1908-1941), résistant et communiste excécuté au Mont Valérien au profit du nom Place du Souvenir français. En 1999 Max Catrin rejoindra les maires de France refusant de délivrer des PACS[5].

Lors de la construction de logements HLM par le Conseil Général, dans la rue commerçante de la ville, des élus et des personnes proches de la présidence du Conseil Général obtinrent des appartements lors de la mise en vente du programme. Peu de temps après, les HLM étaient requalifiés en immeubles de standing ce qui permit à beaucoup d'acquéreurs de les revendre à bon prix. [réf. nécessaire]

Décoration [modifier]

Notes et références [modifier]

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