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21.10.2008

Nommer un établissement scolaire, Kleber Haedens, c’est vouloir donner un exemple à une nouvelle génération.

Pioché sur la blogosphère garennoise :

"Nommer un établissement scolaire, c’est vouloir donner un exemple à une nouvelle génération. C’est une affaire de perception référencielle, et d’équité de considération Et l’exemplaire ne saurait être circonscrit par la seule notoriété. Combien de héros inconnus compte notre histoire ? Combien de talents artistiques méconnus de leur vivant, et redécouverts des générations plus tard ?" S.

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NDLR : on est bien d'accord sur tout : donner le nom de Kleber Haedens c'est vouloir donner un exemple aux générations futures.

Mais quel exemple ? Celui d'un journaliste sportif entretenu dans une bulle d'alcool ? Celui du secrétaire le plus dévoué de Charles Maurras ? Celui du collaborateur de Xavier Vallat ? Celui de l'écrivain dont personne n'a jamais entendu parlé ? Celui d'un homme ressorti des poubelles de l'histoire par le fait du Prince ? Il nous faudra bien un jour une explication de texte.

On pouvait aussi souhaiter d'autres exemples, plus proches, plus doués, plus avant-gardistes, plus sympathiques, plus républicains, moins partisans, moins sulfureux, pas antisémite, ...  Malheureusement, entre l'expression de la seule volonté d'un maire et le souhait de milliers de garennois, il n'y a qu'un mot, bafoué : démocratie.

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Commentaires

C'est surtout une affaire d'ignorance et de petit doigt sur la couture !

Je pense que notre bon maire est en voie de "Dieudonisation", il a fait une connerie, mais plutôt que de le reconnaitre (ce qui en même temps reviendrait à jeter par dessus bord tout son discours sur l'ignorance de l'oeuvre de Kleber Haedens) il va rester droit dans ses bottes et sombrer corps et âme...

Encore quelque mois et le FN sera heureux de l'accueillir en son sein :-) !

Ecrit par : Poil à Gratter | 21.10.2008

Dans la série des qualités de KH relevés par notre bon maire on pourra rajouter la corruption :

"Juré (Comment influencer un) : la palette des coups
révélée ici par Brenner est vertigineuse. Il y a tout
d'abord le provincial Kléber Haedens, juré Interallié, dont
Grasset «prend en charge les frais de séjour parisien
pendant une semaine» au moment du vote. Au Claridge,
bien sûr. Pour 1971, la note, salée, s'élève à 4 500
francs.." Tome IV du journal de Jacques Brenner

Ecrit par : canorb | 21.10.2008

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