25.08.2011

Grossières tentatives de piratage (phishing) du compte Gmail de la rédaction déjouées !

 

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19.06.2011

L'absinthe rend fou ... l'UMP Jean-François Humbert se réjouit de son retour sur le marché ...

absinthe.jpgSoupçonnée de «rendre fou», l'absinthe, dont la capitale historique est Pontarlier (Doubs), avait été interdite en 1915 … un sénateur UMP, Jean-François Humbert se rejouit pourtant de son retour sur le marché. Normal il est sénateur du Doubs !

 

Comme le disait l'eurodéputé UMP-PPE Philippe Juvin sur son blog, jamais à court d'idée pour "taper" sur la gauche qui pense à dépénaliser le cannabis : le danger des drogues est la dépendance, l'entrée dans la schizophrénie, l'isolement social…

A l'UMP : Le cannabis, c'est NON mais l'absinthe, c'est OUI ... un produit français Moooosieur !

Lire aussi : Libération

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Un site total réac ... que nous vous laissons trouver et apprécier à sa juste valeur.
Foulant la terre de ce monde à la manière des hussards, des beatniks et autres anarchistes de droite; l'Absinthe du hussard tente d'apporter une critique de ...

NDLR : Il est marrant de s'intéresser à qui ce blog "réac" fait la part belle.


10.06.2011

Un adolescent poignardé à la Garenne-Colombes

Publié le 09.06.2011, 20h38 Le Parisien.fr


Un jeune homme de 15 ans est entre la vie et la mort ce jeudi soir à la Garennes-Colombes (Hautst-de-Seine). L’adolescent a été agressé dans l'après-midi par trois autres jeunes de son âge. Pour un motif qui reste flou mais pourrait être lié à une histoire de coeur.
Entre 15 et 16 heures, les trois adolescents, âgés de 15 à 16 ans, s'en sont pris à un quatrième.

L'altercation a eu lieu en plein centre ville, rue Jean-Bonal, non loin d'un collège. Mais selon les premiers éléments de l'enquête, confiée à la police judiciaire des Hauts-de-Seine, la victime et ses agresseurs présumés sont déscolarisés. Les trois adolescents auraient d'abord bousculé le jeune homme, décrit comme une «victime facile» par un proche de l'affaire. L'un des membres du trio aurait alors brandi un couteau de cuisine et poignardé l'adolescent au flanc gauche, qui s'est effondré sur le trottoir. Les trois agresseurs ont ensuite pris la fuite.

La police a pu arrêter un premier suspect quelques minutes après l'agression sanglante. Ses deux complices présumés ont été interpellés dans la foulée. Les auditions des adolescents soupçonnés, placés tous les trois en garde à vue, devaient commencer dans la soirée. Des ambulanciers qui passaient à cet endroit ont pu porter secours à la jeune victime, transportée en urgence à l’hôpital Beaujon de Clichy, mais son pronostic vital reste réservé.

Le Parisien

25.04.2011

Si (le N°3, rue) Voltaire m'était conté ...

Une affaire qui aurait du être jugée le 14 mars 2011 mais qui ne l'a pas été pour cause de QPC (vous savez ce truc qu'affectionne particulièrement les avocats de politiques ...) me laisse songeur.

1% logement dans les Hauts-de-Seine, programmes immobiliers aidés, appartements achetés à bas coûts revendus beaucoup plus chers  après avoir été reclassés, ... la routine quoi !

Ce n'est pas toujours de la fiction :

Fonds du 1% logement : procès de Thierry Gaubert renvoyé en mars 2011

Quand l'affaire des fonds du 1% logement dans les Hauts-de-Seine resurgit ... Alors que le procès de Thierry Gaubert, ex-collaborateur de Nicolas Sarkozy devait débuter cette semaine, le tribunal correctionnel de Nanterre a renvoyé au 14 mars 2011 l'examen de ce dossier. Rappelons que ce proche du Président - chargé de la communication de Nicolas Sarkozy jusqu'au milieu des années 90 - est poursuivi pour abus de biens sociaux et escroquerie dans une affaire immobilière.

A l'ouverture de l'audience, le tribunal a ainsi renvoyé l'examen de l'affaire du 14 au 25 mars prochain.

Rappelons que ce dossier concerne la collecte et l'utilisation des fonds du 1% logement dans les Hauts-de-Seine dans les années 80 et 90. En février 2008, Thierry Gaubert avait été mis en examen ainsi que le promoteur immobilier Philippe Smadja par le juge d'instruction de Nanterre, Richard Pallain. L'exposé des griefs : "abus de biens sociaux, abus de confiance, escroquerie et exercice illégal de la profession de banquier".

Thierry Gaubert est notamment soupçonné de s'être servi d'une structure de collecte du 1% logement qu'il dirigeait, le CIL (Comité interprofessionnel du logement) Habitation Française, pour investir dans des programmes profitant à des sociétés civiles immobilières (SCI) ou des sociétés d'économie mixte (SEM) dans lesquelles il avait des parts ou des intérêts.

Plusieurs opérations immobilières sont visées, notamment à Levallois-Perret et à Puteaux (Hauts-de-Seine).

Mais ce n'est pas tout, l'ex-collaborateur de Nicolas Sarkozy - notamment aux Finances - est soupçonné d'avoir illégalement collecté 23,5 millions d'euros dans des ministères pour le logement des fonctionnaires, alors que l'association à but non lucratif qu'il avait fondée à cet effet (Habitation Pour Tous) en 1992 n'avait pas l'autorisation pour ce faire. Une situation dont M. Sarkozy avait été informé à l'époque, selon Libération.

Les faits instruits remontent en effet à une époque où M. Gaubert travaillait pour Nicolas Sarkozy à la mairie de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), puis sous le gouvernement Balladur, au ministère du Budget et dans l'équipe du porte-parole du gouvernement.

Face à une telle attaque, Thierry Gaubert, alors directeur de cabinet du président de la Caisse nationale des Caisses d'Epargne (CNCE) Charles Milhaud, Thierry Gaubert s'était dit "très étonné" par cette mise en examen, intervenant "neuf ans" après l'ouverture de l'information judiciaire.

En février 2008, il affirmait ne s'être jamais enrichi au détriment des deux structures qu'il a présidées , soutenant que son action n'avait causé aucun préjudice : en dehors de la plainte déposée en 1999 par deux administrateurs d'Habitation française, "aucune entreprise, aucun ministère n'a dénoncé quoi que ce soit à la justice", assurait-t-il.

En avril 2007, Thierry Gaubert avait d'ores et déjà nié en bloc toutes les accusations portées contre lui. "Il n'y a jamais eu d'argent détourné" dans des ministères des gouvernements Balladur et Juppé (1993-1997), avait-t-il ainsi déclaré. "On confond collecte (du 1% logement, ndlr) et détournement. Si les détournements avaient eu lieu, il y aurait eu des conséquences immédiates", a affirmé Thierry Gaubert. Lequel voyait dans cette affaire "une tempête dans un verre d'eau".

L'affaire a éclaté à la suite de trois rapports réalisés en 1998 par l'inspection générale des finances (IGF), la mission interministérielle d'inspection du logement social et l'Anpeec - l'agence chargée de contrôler les collecteurs du 1 %.

L'IGF dénonçait notamment un dévoiement des finalités non lucratives de l'association, car des dirigeants du CIL l'Habitation française ou de HPT, ou des relations professionnelles proches "(apparaissaient) parmi les porteurs de parts des sociétés immobilières ayant bénéficié de subventions ou de prêts de la part de l'association".

D'après l'IGF, certains responsables d'Habitation française et d'Habitation pour tous, ainsi que plusieurs personnes "qui comptaient dans leurs relations professionnelles proches, (...) ont vu leurs patrimoines privés bénéficier des moyens financiers mobilisés par l'association (HPT)". Le nom de M. Gaubert, entre autres, est cité.

"L'association a consenti à ses dirigeants un train de vie élevé et sans rapport, ni avec sa taille, ni avec sa vocation non lucrative", expliquait l'IGF, stigmatisant "une pratique active de distribution de cadeaux" à des interlocuteurs dans les ministères approchés pour la collecte des fonds.

Frère de l'ancien président de la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme Patrick Gaubert, Thierry Gaubert est apparu dans la presse people pour avoir épousé Diane Barrière, héritière des casinos du même nom - aujourd'hui décédée- puis la princesse Hélène de Yougoslavie.

Ce proche du pouvoir s'est mis au service de Nicolas Sarkozy au début des années 80, rappelle le quotidien "Libération". Après sa victoire à la mairie de Neuilly, il prend en charge ses relations publiques. Puis Sarkozy l'intègre dans son équipe au ministère, le nommant chargé de mission au budget, puis directeur de cabinet à la communication. Avec Brice Hortefeux, Thierry Gaubert est alors qualifié de «Sganarelle» de Nicolas Sarkozy, homme à tout faire.

Sources : AFP, Libération, Le Monde

14.12.2010

"Le Darfour, je ne sais pas si on peut en rire, mais…".


Timsit : Le Darfour, je ne sais pas si on peut en rire...
envoyé par premiere-urgence. - L'actualité du moment en vidéo.

 

Aujourd’hui,  42 millions de personnes sont réfugiées ou déplacées dans le monde. Poussées par les guerres, les catastrophes naturelles, contraintes de fuir le danger, elles se retrouvent démunies sur les routes, dans des camps de fortune.

Depuis 18 ans, Première Urgence est intervenue dans 38 pays sur des zones de conflits armés, de catastrophes naturelles et de crises oubliées pour venir en aide aux populations déplacées et réfugiées.

Aujourd’hui, Première Urgence intervient dans 15 pays situés en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient, en Europe de l’Est et dans les Caraïbes pour engager des programmes d’aide d'urgence et de reconstruction en faveur des populations victimes de crises humanitaires.

Ces personnes ont besoin d'aide pour survivre et retrouver leur dignité.

Avec votre aide, nous leur permettons de retrouver une véritable autonomie par la mise en place de projets d'aide alimentaire, de reconstruction, d'accès à l'eau et de relance économique.

"Le Darfour, je ne sais pas si on peut en rire, mais…".

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Pour adresser votre don à Première Urgence par chèque :
Première Urgence
9 bis, rue Georges
92250 La Garenne-Colombes

Ou par

le site de l'association : http://premiere-urgence.org/

07.07.2010

Le haras qui rit de Florence Woerth


lexpress.fr/actualite/politique/

Gestionnaire avisée, Florence Woerth a aussi créé une écurie hippique, où se côtoie le gratin des courses et des affaires. Un petit monde ravi de la politique de Bercy en matière de défiscalisation ou de paris en ligne...

Nous sommes le 28 octobre 2008, à Neuilly-sur-Seine ...

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