La Garenne-Colombes : retour de Buzz

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Combat politique

Etienne de Montety, du Figaro Littéraire faisait allusion aux origines intéllectuelles de Kleber Haedens, son appartenance à l'Action Française.

Aujourd'hui encore l'Action Française est la continuité du combat mené par Charles Maurras et Kleber Haedens ... 

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L'Action Française c'est : 30minutes pour mieux comprendre.

Le combat souverainiste

Depuis 1998, l'A.F. participe au combat souverainiste. Face à la construction d'une Europe fédérale, il importe en effet de pratiquer une politique de rassemblement avec tous ceux qui pensent que le destin politique de la France passe par d'autres voies que celle de l'intégration européenne.

L'A.F. est représentée au Conseil National Souverainiste et à l'Alliance pour la souveraineté de la France. Elle travaille en particulier à dénoncer l'intrusion de la Commission de Bruxelles dans l'enseignement supérieur et secondaire. Elle organise la contestation anti-fédéraliste. Elle défend l'idée d'une "Europe des Etats" fondée sur la coopération de nations souveraines.

Le fer de lance du royalisme en France

Par sa presse, sa formation, son action politique, mais aussi par la vigueur de ses idées et son influence, l'A.F. est un mouvement incontournable dans le paysage politique français. C'est par Maurras que l'idée royale a été restaurée en France, et c'est ce mouvement qui a le mieux satisfait aux exigences rationnelles, pour faire de la monarchie une authentique alternative politique, à la fois exaltante et urgente.

L'Action française est un indispensable relai des idées monarchistes en France, par delà les affinités. Elle entretient des rapports constants avec la presse et les intellectuels qui constituent le courant royaliste.

L'issue royale

Elle est d'abord possible, parce qu'existent à la fois le royaume et le prétendant. Elle correspondra à un consentement populaire, qui ne découlera pas seulement de la déception engendrée par les oligarchies qui vivent de la démocratie. Il s'agira d'un renouement sacré entre le peuple et son Roi, retrouvés dans la loyauté et la parenté nationale qui seules ont protégé la France contre les effluves et les déchirements de l'Histoire.

Dans cette perspective, l'Action française s'affirme comme un serviteur préparant l'accueil et le désir du souverain dans la nation, et faisant retrouver le sens du Politique.

Contrairement aux idées en cours, nous pensons que la question du régime se pose pleinement : impuissante face au fédéralisme européen, à la mondialisation, mais véritable régime de guerre civile, la démocratie libérale apporte une fois de plus la preuve de son incompatibilité avec l'existence de la France. Sous la République, notre pays perd jusqu'à la notion de son destin, et jusqu'au goût de son unité et de sa place dans le monde.

La démocratie libérale ne fait qu'incarner l'individualisme, la dispersion et l'insignifiance.

La France a besoin d'une réforme de l'Etat, d'une monarchie héréditaire et décentralisée, dans laquelle le souverain s'appuierait à la fois sur la nation et sur la représentation des différents secteurs et communautés de travail. D'un État stable, durable, légitime selon l'esprit d'Antigone.

L'A.F. maintient un contact avec le Chef de la Maison de France, Mgr Henri, Comte de Paris, Duc de France. Elle veut nouer des relations amicales avec les monarchies étrangères (Maroc) et les royalistes d'autres pays.