12.01.2011

Philippe Juvin serait-il de nouveau candidat à un mandat (de +) de conseiller général des Hauts-de-Seine ? Mandat dont il vient pourtant tout juste de démissioner !

 

 

fb99f1ac-a1ff-11dd-8cd3-533bcde43c0d.jpgParce que pour compter au conseil général des Hauts-de-Seine comme dit dans le Figaro du jour, il faut, c'est une lapalissade, être élu au conseil général des Hauts-de-Seine, sinon tout cela c'est du pipeau ...

 

Lire dans le Figaro du jour le récit de toutes ces carabistouilles ...

Hauts-de-Seine: la succession de Devedjian convoitée

Lors de ses vœux, le président du conseil général a fermement critiqué les dérives de la «politique spectacle», appelant au «courage de dire non».

UMP Patrick Devedjian a prononcé mardi soir les derniers vœux de sa mandature, qui pourraient être aussi ses derniers vœux comme président du conseil général des Hauts-de-Seine. Il a donc parlé fort pour marquer cette dernière fois. Procédant à une charge nourrie contre «la politique spectacle», l'ancien ministre de la Relance a dénoncé le «vent de dérision qui souffle sur nos institutions en croyant dépoussiérer la démocratie» et qui «pose en réalité la première couche d'une nouvelle forme de totalitarisme : celui de la démocratie d'opinion».
Se gardant de citer quelque exemple concret, il a dénoncé l'attitude de ces élus qui «se croient obligés» d'aller dans des émissions de divertissement «pour être dans l'air du temps», alors que «les humoristes se moquent ouvertement d'eux, sous les rires et les applaudissements d'un public factice». Ceux aussi qui «s'exposent complaisamment» dans «les magazines (qui) se délectent de la vie privée des élus» sous prétexte de transparence, pour pallier le «soupçon permanent» dont ils sont l'objet.
La critique est sévère. Elle ne pouvait pas ne pas être perçue, mardi soir, comme une suite de sa canonnade de fin novembre contre le président Nicolas Sarkozy, son fils Jean - président du groupe de la majorité présidentielle des Hauts-de-Seine - et leur entourage, qui auraient favorisé, à l'automne, sa défaite à la présidence de la fédération UMP. «Il faut avoir le courage de dire non à la société de l'indifférence , a-t-il lancé mardi soir. Quitte à être impopulaire. Quitte à être parfois un peu seul.»
Cette solitude, il la ressent sans ambiguïté au sein du groupe des élus de la majorité. La consigne est de le battre froid sans remettre en cause l'unité. «Il sait ce qu'ils sont capables de faire, et il sait donc que sa présidence est en danger», reconnaît un proche. Les élus du groupe de la majorité, en effet, se demandent aujourd'hui qui va le remplacer à l'issue des cantonales de mars. Dans les Hauts-de-Seine, 24 cantons sont renouvelables dont 19 à droite. Le résultat ne fait pas de doute, même si la victoire de la gauche aux régionales avec, fait inédit, 51,06 % des voix dans le département, a marqué les esprits et créé des zones de tensions.
Les jeunes élus sur les rangs
Jean Sarkozy a dit qu'il ne serait pas candidat à la présidence, conservant son unique mandat de conseiller général de Neuilly «jusqu'en 2014». Il s'est engagé sur un dossier marqué à gauche, celui de l'économie sociale et solidaire, avec un budget spécifique de 6 millions d'euros voté ces prochains jours. Et l'organisation, à la rentrée, d'un «laboratoire d'idées» sur le sujet.
Les défenseurs du «renouvellement des générations» vantent en revanche les qualités d'un proche de Jean Sarkozy, Thierry Solère, élu de Boulogne-Billancourt. Celui-ci ne dit ni oui ni non, mais affirme vouloir travailler sur le fond et le long terme. «Le département s'est caricaturé en coffre-fort depuis deux ou trois ans», assure-t-il en critique implicite de la politique menée par Devedjian. Et, pour lui, «la solution viendra d'un travail de fond sur les priorités et les actions à mener». Il compte s'allier avec d'autres jeunes élus, comme le député maire de Saint-Cloud, Éric Berdoati, ou le député européen et maire de La Garenne-Colombes, Philippe Juvin.

Source : le Figaro.fr

 

Ndlr : Patrick Devedjian ne viendra pas demain aux voeux de Philippe Juvin. Pas besoin de lire dans notre boule de cristal pour se douter qu'après avoir déclaré : Patrick Devedjian doit retrouver ses esprits ou encore que les propos de Patrick Devedjian sont des carabistouilles, ce dernier article ne va pas faire de Philippe Juvin le meilleur ami du patron des Hauts-de-Seine.  Adieu les subventions ...

 

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