19 juin 2009

La fièvre baisse à La Garenne

Voir le billet original (P.Assouline)

Vous vous en souvenez peut-être, en novembre dernier, la fièvre montait à La Garenne-Colombes comme jadis à El Pao, à la faveur d’une intense polémique aux accents littéraires mais au fond politique.

La mobilisation fut forte et permanente dans les deux camps. Pros et antis s’affrontèrent en échangeant des noms d’oiseaux, des tracts et même des arguments autour de la détermination du maire, soutenu par le conseil municipal et le conseil départemental, de baptiser un collège du nom de son écrivain de chevet, Kléber Haedens, auteur estimable mais dont l’œuvre et la personne étaient sans attaches avec la ville, et surtout homme de droite ayant flirté autrefois avec le maurrassisme et la Révolution nationale.

Or on vient d’apprendre que, de manifestation en manifestation, les antis ont remporté leur partie de bras de fer après jet de l’éponge des pros.

Leur pugnacité a fini par payer. Forts d’une pétition signée par 3000 personnes à l’issue d’une campagne médiatique menée tambour battant sans relâche pendant des mois, ces Garennois ont obtenu que le collège porte le nom de son quartier, Champs-Philippe, en attendant de lui trouver un patronyme plus symbolique. Du coup, à force d’alimenter leur dossier, ils sont devenus des spécialistes de la droite littéraire…

Voir le billet écrit par Pierre Assouline en novembre 2008, ICI

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20.06.2009, 15h47 AFP/ Le Parisien

Pas de collège Kleber Haedens à La Garenne-Colombes

Le second collège de La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine) ne portera pas le nom de l'écrivain et ancien membre de l'Action française Kléber Haedens. Le maire (UMP) de la commune, Philippe Juvin, a confirmé l'information révélée par l'édition des Hauts-de-Seine du Parisien de ce samedi.../

... La décision, prise en octobre par le conseil général des Hauts-de-Seine (Ndlr : sur proposition de Philippe Juvin, maire de La Garenne-Colombes), de baptiser ce collège du nom de l'écrivain Kléber Haedens (1913-1976), membre de l'Action française et proche de Charles Maurras, avait suscité une polémique.

Le collège sera finalement baptisé «Champs-Philippe» 

(Ndlr : plus exactement vendredi 19 juin, Patrick Devedjian et Isabelle Balkany ont demandé à Philippe juvin de retirer sa demande).

Huit recours en annulation avaient été déposés en décembre au tribunal administratif de Versailles, par des enseignants et des parents d'élèves de ce futur collège.

Le jour de la pose de la première pierre du collège, en novembre, une quarantaine de personnes, parmi lesquelles figuraient notamment des élus locaux du MoDem et du PS (ndlr : et de nombreux garennois sans étiquette), avaient (déjà) manifesté pour dénoncer cette décision.*

Le collège sera finalement baptisé «Champs-Philippe», du nom du quartier dans lequel il est situé. «Le premier collège de la ville s'appelle "Vallées", du nom du quartier», a précisé Philippe Juvin.*

* Ndlr : encore une fois, Philippe Juvin bafoue honteusement les règles démocratiques : il serait en effet plus exacte de dire que le collège sera sans doute baptisé "Champs-Philippe". En effet ce n'est qu'après la réunion du premier Conseil d'Administration du collège que pourra être entériné un nom proposé par le Conseil Général. Certes, le nom de "Champs-Philippe", proposé par tous depuis le début de la polémique sauf par Philippe Juvin lui-même (qui proposait lui, le nom d'un écrivain d'extrême droite) a toujours fait consensus. Il est à remarquer que l'acharnement de Philippe Juvin à faire passer Kleber Haedens pour ce qu'il n'était pas, et celà depuis près d'un an, relève plus du combat idéologique que du bon sens. Un bon sens que l'on était en mesure d'attendre du premier élu de la ville. Dont acte.

Ndlr : la vérité est donc assez éloignée du corps de ce communiqué de presse mensonger par omission ... mais mensonger.

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Voir le courrier d'Isabelle Balkany qui confirme que le nom de Kleber Haedens a bien été voté le 20 octobre sur proposition du conseil municipal de La Garenne-Colombes (Philippe Juvin) et pas l'inverse.

Hier, 19 juin 2009, Patrick Devedjian, Ministre auprès du Premier Ministre en charge de la relance et président du Conseil général des Hauts de Seine ainsi qu'Isabelle Balkany, conseillère générale des Hauts de Seine, chargée des collèges et proche de Nicolas Sarkozy ont demandé en séance plénière du Conseil général à Philippe Juvin, maire UMP de La Garenne-Colombes, de bien vouloir retirer sa proposition de nommer le collège de sa ville du nom d'un écrivain d'extrême droite et alcoolique notoire, Kleber Haedens.

Ce qu'il fera publiquement vers 9 heures du matin.

Vers 10 heures du matin, Philippe Juvin informe alors le porte-parole du collectif républicain et apolitique "Non à Kleber Haedens", de cette décision ainsi que Monsieur Bernard Dargols, un monsieur de 89 ans, ancien GI's ayant débarqué le 8 juin 1944 sur Omaha Beach qui avait été blessé et offusqué de voir réapparaitre le nom d'un écrivain fasciste sur le collège de sa propre ville.

Tout semblait être rentré dans l'ordre.

Philippe Juvin qui avait l'air très soucieux que cette information ne soit reprise et utilisée contre lui par des opposants malintentionnés souhaitait rencontrer au plus vite des membres du collectif pour s'expliquer.

Sans attendre une rencontre, Bernard Dargols et Marc Schindler (porte-parole du collectif) ont passé leur journée à parler et rencontrer les nombreux acteurs du collectif afin que chacun savoure cette sage décision sans pour autant l'utiliser à d'autres fins que celles du collectif, à savoir la volonté de voir retirer ce nom contraire aux valeurs de la république, ce que l'on était en droit d'attendre pour la dénomination d'un établissement scolaire, et c'est tout.

Les déclarations de Bernard Dargols et de Monsieur Schindler, surtout celles faites à la presse allaient dans ce sens. Les blogs garennois citoyens ou politiques reprendront d'ailleurs de concert un communiqué visant l'apaisement et invitant simplement à savourer le retour des valeurs républicaines sur leur collège.

L'affaire était close et entendue pour tout le monde.

Pour Philippe Juvin manifestement, NON. Ce matin, quelle ne fut pas notre surprise de lire dans le Parisien un article au vitriol reprenant les propos de monsieur le maire :

"Kléber Haedens a été utilisé à des fins politiciennes par des gens qui
prennent des enfants en otages. Je souhaite les protéger de ces
querelles qui ne les concernent en rien."

C'est odieux ! C'est surtout inquiétant. Plus encore pour les amis politiques de Philippe Juvin que pour ses opposants tant la sortie est indécente.

Si Patrick Devedjian et Isabelle Balkany ont demandé à Philippe Juvin de retirer ce nom, c'est sans doute qu'il y avait quelques raisons. Ces gens là ne sont pas des "sots". Sans doute ont-ils eu des avis éclairés avant de formuler une telle demande venant d'un membre de "leur camp".

Kleber Haedens, écrivain d'extrême droite, ayant participé activement à l'hallali anti juif des années 30-40, nationaliste et alcoolique notoire avait quand même quelques bonnes raisons de ne pas figurer sur un établissement scolaire public et de froisser les susceptibilités alto-séquanaises, non ? Ce que le collectif NON à Kleber Haedens dénonçait depuis des mois, d'ailleurs.

Philippe Juvin n'a rien compris. A trop lire Charles Maurras, il a fini par faire sienne l'idée que la république était une gueuse. Il se trompe lourdement. S'il croit encore que la polémique est la mère de toute les stratégies,  il se trompe.

Il n'a pas compris que les "indécrottables républicains" sont majoritaires dans ce coin de France.

Il n'a pas compris que le collectif républicain garennois avait été très gentil avec lui jusqu'à maintenant.

Il n'a pas compris que dire : "Kléber Haedens a été utilisé à des fins politiciennes par des gens qui
prennent des enfants en otages" est tout simplement odieux de la part de quelqu'un qui a tenté insidieusement de faire passer pour valeur à suive un ennemi de la république et de la différence.

ll n'a pas compris  qu'en déclarant vouloir "protéger les enfants de querelles qui ne les concernent en rien", Philippe Juvin vient de déclarer la guerre, justement à ceux qui voulaient protéger ces enfants de l'indifférence et de la barbarie, à des parents responsables, à des enseignants qualifiés, à des citoyens engagés, à des professionnels motivés, à des hommes et des femmes de bonne volonté, ...

Philippe Juvin n'a pas compris non plus, que nous sommes plusieurs milliers. Philippe Juvin n'a pas compris que parmi ces milliers de personnes il y avait une kyrielle de compétences capables de faire savoir à la terre entière ce qui se passe à la Garenne-Colombes.

Philippe Juvin n'a décidement pas compris que nous avons compris.

Philippe Juvin ne comprendra jamais rien à rien.

Un exemple : s'il croit encore qu'après avoir dit à qui voulait bien l'entendre qu'il y avait 10.000 morts par an en France dans les hôpitaux à cause de l'inorganisation, il allait pouvoir diriger un service des urgences à Clichy alors qu'il travaille à Strasbourg, il se trompe encore.

Nous allons le faire savoir, Monsieur Juvin.

Il ne fallait pas pousser le bouchon aussi loin …

Si vis pacem, para bellum

PhllBert

C'est désormais officiel, puisque Philippe Juvin, a annoncé aujourd'hui 19 juin, en séance publique du  Conseil Général que la Mairie de La Garenne-Colombes avait demandé le retrait de ce nom contesté.

Ecrivain d'extrême-droite, rédacteur à Je Suis Partout et à l'Action Française pendant les heures les plus sombres de notre histoire, Kleber Haedens ne présentait pas les qualités nécessaires pour que la ville et l'Éducation nationale lui fassent cet honneur.

Plus grave, donner ce nom-là à un établissement scolaire constituait un danger : celui de rendre hommage à une idéologie dont on connaît les dérives et les ravages et de porter atteinte au devoir de mémoire collectif qui doit toujours être le nôtre.

Mais c'est du passé, l'affaire est close et entendue.

Le collège ouvrira donc le 3 septembre sous le nom officiel donné par l'Education nationale :

Collège de La Garenne-Colombes N°2.

Il portera ce nom administratif jusqu'au premier conseil d'administration de l'établissement qui devrait se tenir en octobre.

A ce moment là, sera proposé par le conseil général le nom de

*

Collège des Champs-Philippe.

Nom qui pourrait être accepté par le conseil d'administration du collège et entériné par la suite par le Conseil général des Hauts de Seine, selon l'ordre normal des choses. 

L'histoire du combat que nous avons été très nombreux à mener, ici et ailleurs, est une belle histoire.

Nous avons réussi parce que nous avions raison, mais pas seulement.

Nous avons réussi parce que nous nous battions pour des convictions profondes et sans parti pris partisan.

Nous avons réussi aussi parce que nous n'avons pas cherché à imposer un autre nom. 

*

La proposition de "Collège des Champs-Philippe"

est une bonne solution pour tout le monde.

C'est faire le pendant avec le collège du quartier des Vallées, c'est aussi valoriser un quartier en plein développement.

Ne pensons plus ce week-end qu'à la Fête de la Garenne-Colombes et, pour ceux qui le peuvent, allez visiter le nouveau collège samedi matin.

Enfants de La Garenne-Colombes, vous allez avoir un très beau collège.

Enfin, bienvenue à la nouvelle équipe, enseignants et personnels administratifs.

Et avant de penser à la rentrée 2009, d'abord bonnes vacances à tous !

Collectif " NON à Kleber Haedens"

Parents d'élèves du futur collège de La Garenne-Colombes, voici les articles qu'il vous faudra acheter avant la rentrée pour que vos enfants soient en conformité avec "l'anticonformisme" prôné par les amis de Kleber Haedens.

http://canalmythos.blogspot.com

Depuis plus d'une trentaine d'années, les militants royalistes en action arborent fièrement le bandana blanc.
Le bandana est blanc, comme la couleur du roi.
Toujours rangé dans la poche du militant, ou autour du poignet.
Il est mis autour du cou pour s'afficher symboliquement, ou bien en prévision d'une utilisation pratique. Dans le premier cas, il sera roulé proprement, porté sous le col de chemise.

*
En manifestation, ou action "coup-de-poing" diverse, il est noué de manière à pouvoir être remonté sur le nez sans avoir à refaire le nœud. Il pourra alors cacher le visage du militant dans le cas où il vaut mieux garder l'anonymat. Il servira également à se protéger des gaz lacrymogènes, dans cette optique il peut-être utile de l'imbiber de citron pour mieux filtrer les gaz.
De plus le bandana blanc sert de signe de reconnaissance rapide en cas de bagarre ou autres situations confuses.

*

L'AFE (Action Française Etudiante) qui recommande la lecture de Haedens et de son histoire de la littérature française lors de ses camps d'été de formation militante a légendé sur son site la photo de rue ci-dessus : liberté de penser ...

 *

Ah, anticonformisme, quand tu nous tiens ...

http://www.rtbf.be/info/matin-premiere/la-chronique-de-pa...

La chronique de Paul Hermant

Radio Télévision Belge Francophone

16.06.09 - 04:49

L'anachronisme est la maladie infantile de la chronique et pour le chroniqueur, un péché, une faute, une erreur.

Alors il m'est venu à l'idée de vous raconter cette histoire française.

Ça se passe à La Garenne-Colombes, dans les Hauts de Seine, où un collège qui ouvrira ses portes en septembre prochain prendra le nom de l 'écrivain Kléber Haedens. Kléber Haedens faisait partie de ceux qu'on a appelé « les Hussards » comme Antoine Blondin ou Roger Nimier, des gens à la plume pétillante -on peut même aimer lire Haedens -, mais à la généalogie très marquée à droite, à l'extrême droite même. Il fut avant la guerre et pendant, du bon côté du manche. Jamais dénoncé ni déporté personne et pas épuré non plus, mais Action française, Je suis partout et maréchal nous voilà.

Ce baptême anti-républicain fait scandale depuis des mois.

Ce nom est le choix souverain d'un maire, Philippe Juvin, qui vient d'être élu député européen.

Haedens est son écrivain préféré et il entend bien le faire lire à tous les élèves au début de leur cursus. Je dis ça, c'est pour dire qu'on trouve toujours plus anachronique que soi. Allez belle journée et puis aussi bonne chance.

Les commentaires sur le site de la RTBF ... valent leur pesant de saucisson !

16.06.09 - 13:12 - Isabelle M.

Minute, papillon...
Il y a l'oeuvre et il y a l'homme.
Fusionner les deux peut mener d'une part à de dangereuses dérives et, d'autre part, à passer à côté de nécessaires chefs d'oeuvres de la littérature, ce qui est nettement plus dommage.

J'adore Steinbeck : celui des Raisins de la colère mais pas celui qui prit position en faveur de la guerre du Vietnâm, eh oui on le sait moins mais c'est pourtant le cas...
Mais j'adore aussi Blondin : l'écrivain et parfois l'homme aussi, pour son désespoir flamboyant par exemple mais pas pour tout.
Comme j'adore Céline : l'écrivain, pas l'antisémite enragé et son oeuvre, dont l'indispensable Voyage au bout de la nuit.

Je n'aurais voulu pour rien au monde passer à côté de ces oeuvres, sous prétexte qu'eux et moi n'étions pas d'accord sur tout et même parfois, n'étions d'accord sur rien d'autre que l'absurdité de la vie...

Mais qui est ce Kléber Haedens ? L'écrivain, je veux dire...

Quelle est cet obscur scribouillard que ce député en mal de publicité personnelle est allé exhumer ???
Moi qui ai deux lieux de perdition privilégiés (les bouquinistes et les charcuteries), j'avoue n'avoir jamais rencontré ce nom... Ni comme écrivain, ni comme marque de saucisson.
La prochaine fois que j'irai me perdre dans une charcuterie, c'est promis, je serai plus attentive. Ce serait dommage de passer à côté d'une spécialité du terroir.

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NDLR : Dites, Monsieur le maire, au train où vont les choses, c'est bientôt 500 millions d'européens qui vont se foutrent de la gueule de La Garenne-Colombes...

On arrête quand la plaisanterie ?

*

Merci de nous prévenir : non.a.haedens@gmail.com

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titrait la semaine dernière le journal L'Humanité à propos de Kleber Haedens, le nom calamiteux du futur collège de La Garenne-Colombes.

Hier, c'était au tour d'Europe 1 de mettre encore une fois les pieds dans plat.

Ecoutez !

Appuyer sur le bouton vert

Alors que la voiture aux couleur d'Europe 1 du journaliste Emmanuel Renard avait sillonné la ville à la recherche d'information sur ce Kleber Haedens, c'est Bernard Dargols, 89 ans qui, hier, a laissé éclater sa colère. Un garennois ulcéré que l'on ait pu donner le nom d'un extrêmiste de droite d'avant et pendant le Seconde guerre mondiale, d'un type tout ce qu'il y avait de plus anti-républicain à un collège de l'Education nationale.

" Si Kleber Haedens devait être le nom du collège de mes petits-enfants ou des votres, c'est à Nicolas Sarkozy en personne que j'irais rendre toutes mes médailles".

Il faut savoir que samedi 6 juin dernier, c'était un autre grand journal, Le Figaro qui rendait hommage à Bernard Dargols, le jour même de sa rencontre avec Barack Obama sur la plage d'Omaha beach. Omaha où Bernard avait débarqué 65 ans plus tôt et contribué avec ses "copains" GI, à libérer notre pays de la barbarie nazie. Un grand Monsieur, Bernard Dargols.

Mais quelle idée, il a eu là, Philippe Juvin, le maire de la ville et maintenant député européen, d'aller mettre sur le collège flambant neuf de la ville, le nom d'un type complètement vert-de- gris qu'aucun des petits ou grands arrangements avec l'Histoire de la communication municipale ne serait de toute façon arrivé à rendre respectable ?

Avant de partir à Strasbourg réfléchir aux grands problèmes du monde, Mr Juvin, ne serait-ce pas le moment de rassurer les garennois en leur disant que, finalement, la sagesse voudrait que l'on donne à ce collège un nom plus sympathique que celui de ce monsieur Haedens. Un nom, qui décidement ne fait vraiment pas l'unanimité ? En fait si ... mais contre lui.

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S'est exprimé pour la mairie au micro d'Emmanuel Renard,

Hervé Barraquand qui est conseiller municipal
délégué à la culture et aux jumelages (et pas aux affaires scolaires).

*

*

herve.barraquand@lagarennecolombes.fr

Répondre, Mr Barraquand, que le refus du nom d'Haedens est une querelle politicienne, relève, excusez-nous, mais d'une mauvaise foi consternante.

Avez-vous au moins une seule fois rencontré le porte-parole du collectif ou Monsieur Bernard Dargols pour affirmer une chose pareille ? Non ! Vous ne savez peut-être même pas qui ils sont.

Alors pourquoi étiquetter des gens que vous ne connaissez pas et leur prêter des intentions tout droit sorties de votre imagination (elle, bien trop politicienne) ? Pas bien ...

Profitez peut-être de l'occasion pour entrer en contact avec l'un ou l'autre afin qu'ils vous exposent les raisons de leurs positions. Des positions que personne ne leur a soufflé de tenir, croyez-nous.

En revanche, si notre action n'est certainement pas politicienne, elle est évidement politique dans le sens noble du terme, c'est à dire qui concerne les affaires de la cité. Un collège concerne tout le monde ...

Cela n'a rien à voir avec notre Kleber municipal,

mais la municipalité ayant manifestement décidé de ne consacrer que le "minimum légal" à l'information concernant pourtant une page importante de l'histoire de la ville, le Buzz publie ici une annonce d'intérêt général.

Que les lecteurs uniquement intérressés par l'absurdité Haedens (quelques 300 lecteurs/jour) veuilllent bien nous excuser de parler aujourd'hui d'urbanisme.

Réunion publique

(mais tenue secrète) 

relative

à la modification du

Plan Local d'Urbanisme (PLU)

Mairie de La Garenne-Colombes

Lundi 15 juin à 20h00

Salle du conseil municipal

en présence de Madame la commissaire-enquêteur, Madame CLUZEL-PRONOST.

*

*

En deux mots, le Plan Local d'Urbanisme est le document qui fixe les grandes orientations de la commune en matière d'urbanisme et qui définit, parcelle par parcelle, les règles et contraintes de construction. C'est sans doute le document ou l'engagement le plus important d'une mandature ... ce n'est pas rien. Ce document remplace l'ancien POS (Plan d'Occupation des Sols). C'est pourquoi il est très étonnant que la municipalité n'y consacre qu'une ou deux affichettes "légales".

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NDLR :

Les permis de construire successifs de la médiathèque ayant été annulés par le Tribunal Administratif de Versailles pour non-conformité avec le Plan Local d'Urbanisme en vigueur, il semble que l'on veuille changer de Plan Local d'Urbanisme ! C'est quand même simple la démocratie. La loi ne vous permet pas de faire n'importe quoi en matière d'urbanisme et de non-respect de l'environnement, changeons la loi.

LE MONDE | 03.06.09 |

14h15

http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/06/03/une-depr...

Dans l'enquête sur les causes de l'accident du vol Air France AF 447 Rio de Janeiro-Paris, qui a coûté la vie à 228 personnes, les enquêteurs n'en étaient encore, mercredi 3 juin, qu'au stade des hypothèses.

Philippe Juvin, en campagne, quatre jours avant les élections européennes avait, quant à lui un avis à partager avec la France entière. C'était dans le Monde du 3 juin.

Plus on s'élève en altitude, plus l'oxygène se raréfie. C'est un phénomène connu des alpinistes et l'ascension des grands sommets s'effectue avec une assistance en oxygène.

…/…

C'est au Camp Maxime Real del Sarte, l'université d'été royaliste que Kleber Haedens et son histoire de la littérature sont au programme.

Voir la liste des ouvrages recommandés : http://cmrds.actionfrancaise.net/lecture.htm

Voir qui sont les autres auteurs recommandés pour comprendre "la finalité de la chose littéraire..." ou politique.

A partir du 3 septembre 2009, ils le seront aussi au nouveau collège de La Garenne-Colombes, dès la sixième comme le souhaite le nouveau député européen, Philippe JUVIN (UMP).

En savoir + sur le CRMDS sur le site de l''Action Française étudiante qui recommande Kleber Haedens et félicite Philippe Juvin pour son choix "audacieux". http://www.afe-blog.com/?p=1140

Extraits ...

Université d’été royaliste

Nous  savons bien qu’un jour nous rétablirons la monarchie en France face à l’anarchie et à la démocratie. La question n’est pas de savoir quand nous la rétablirons, mais comment, pourquoi et sous quelle forme. C’est ce que le Camp Maxime Réal del Sarte propose à ses participants d’étudier, il s’agit d’une tâche ardue, largement facilitée par la bonne ambiance qui règne dans cette université d’été. Le CMRDS est donc une semaine de formation dans la cadre prestigieux du château de Lignières où nous sommes aimablement accueillis par le prince Sixte-Henri de Bourbon Parme, mais également un moment d’amitié, où la jeunesse française animée d’une même conviction peut se retrouver, échanger, et tisser des liens durables.

S’instruire pour vaincre

Les nouvelles contraintes politiques nécessitent plus que jamais une formation irréprochable. Depuis cinquante ans, le CMRDS se donne pour objectif de former la jeunesse royaliste et les cadres politique de demain. Loin de la médiocrité ou de l’insuffisance des innombrables universités d’été, le CMRDS dispense une formation polyvalente, directement applicable au sein d’une structure politique éprouvée.

Formation politique

Conférences, cercles d’étude, ateliers, travaux encadrés ; par niveau de connaissances, un enseignement adapté et complet : politique, philosophie, actualité…

Formation militante

Toutes les techniques militantes avec mise en pratique quotidienne, sur le terrain ; du sport, selon les dispositions de chacun.

Formation technique

Selon les responsabilités et le degré d’implication de chacun : organisation, structure, communication et école de cadres.

Le Camp se déroule au château de Lignières (18160 LIGNIÈRES) du vendredi 22 août (12 heures) au dimanche 31 août (soir).

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Pour visiter le collège N° 2

Une demie- journée porte ouverte

est prévue le Samedi 20 JUIN de 9H00 à 12H00

A ne pas manquer !

IMPORTANT

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Le collège N°2 de La Garenne-Colombes

n'est pas la version permanente

du camp d'été royaliste et nationaliste

Maxime Real del Sarte

C'est bien un collège public

de

l'Education nationale

financé par

le Conseil général des Hauts de Seine.

Aujourd'hui, Minute est un journal proche de l'extrême droite qui se veut rassembleur de la droite souverainiste et nationaliste.

À maintes reprises, l'hebdomadaire a aussi appelé les membres de l'UMP se considérant à l'aile droite de ce mouvement à rejoindre cette coalition.

Pierre Desproges disait : : "Vous lisez Minute? Non ? Vous avez tort, c'est intéressant. Au lieu de vous emmerder à lire tout Sartre, vous achetez un exemplaire de Minute, pour moins de dix balles, vous avez à la fois La Nausée et Les Mains Sales".

Ce n'est un secret pour personne, Philippe Juvin aime la littérature d'avant guerre.

En particulier, Kleber Haedens, l'auteur de son livre de chevet (sic) : Une Histoire de la littérature française, dont Aragon dira que c'est une histoire des écrivains fascistes ou fascisants. Pour Jean d'Ormesson, ce n'était qu'un pamphlet très à droite, une oeuvre de combat écrite par un écrivain d'extrême droite (qui buvait trop).

Le nouveau collège à ouvrir à la rentrée 2009 s'appellera donc : Kleber Haedens et cette histoire de la littérature sera distribuée par la municipalité aux élèves de 6ème. Mr le Maire en a décidé ainsi ...

Blog perso de Philippe Juvin

http://www.philippejuvin.fr/

*

*

Finalement, Garennois, nous avons de la chance, nous avons peut-être évité Boule et Bill pour l'école primaire et Henri Béraud*, pour le collège. Certes, il reste la médiathèque à baptiser. Espérons que Louis-Ferdinand Destouches, Lucien Rebatet ou Léon Degrelle ne soient pas, ce coup-ci proposés (imposés) ... mais qu'au contraire les garennois soient enfin consultés.

* Directeur politique officieux et éditorialiste de "Gringoire" de 1928 à 1943, chroniqueur violemment anglophobe et antisémite, et auteur apprécié de Philippe Juvin pour la richesse de son vocabulaire.

S'il y a un ouvrage pour comprendre qui est Kleber Haedens, cet écrivain à qui Philippe Juvin, maire de la Garenne-Colombes et député européen depuis dimanche a souhaité rendre hommage en lui dédiant le nouveau collège de La Garenne-Colombes c'est :

La revue "Idées" 1941-1944 : des non-conformistes en révolution nationale

La revue Idées, 1941-1944: des non-conformistes en révolution nationale

Par Antonin Guyader, Pascal Ory

Publié par Editions L'Harmattan, 2006

ISBN 2296010385, 9782296010383

357 pages

Philippe Juvin, Maire de La Garenne-Colombes

est élu député européen.

Tous les résultats par ville, département et région sur le site

http://elections.interieur.gouv.fr/07/07.html

Félicitations, monsieur le Maire

PhilBert

PS : ne vous inquiétez pas, monsieur le maire, en votre absence, on sortira le Kleber, matin, midi et soir ... faire sa petite crotte le long du collège.

Bernard, un jeune français de 19 ans était en stage à New York quand la guerre a éclaté. En 1940, il s'engage dans l'armée américaine.

Le 8 juin 1944, après trois années de formation militaire, Bernard Dargols débarque sur Omaha beach avec ses copains de la 2ème division d'infanterie de l'US Army, l'Indian Head.

Leur objectif : libérer la France, l'Europe, le monde de la barbarie, du fascisme et de l'antisémitisme du régime nazi.

10.000 de ses "copains" reposent maintenant dans le cimetière de Colleville en Normandie.

Aujourd'hui Bernard Dargols est avec Nicolas Sarkozy, Barack Obama et ses 10.000 copains silencieux à l'endroit même où le nazisme commenca à reculer, en Normandie.

Merci Bernard.

Vos voisins à La Garenne-Colombes, tous les Français, tous les européens pour qui nous voterons demain, tous les citoyens du monde vous disent aujourd'hui : MERCI du fond du coeur.

Grâce à des gens comme vous, nous vivons désormais libres et presque égaux. Débarrassés de la tyranie et libre de penser, de dire et de faire.

Non, Bernard Dargols, ni vous ni vos copains GI,  vous n'avez pas  fait tout cela pour rien. Grâce à vous nous pouvons continuer votre combat pour la Liberté, l'Egalité et la Fraternité.

Merci Bernard.

*****************

Le GI français D'OMAHA BEACH a débarqué avec les américains

Bernard Dargols, 89 ans, vétéran franco-américain, doit rencontrer aujourd'hui Barack Obama au cimetière américain de Colleville-sur-Mer, à l'occasion des cérémonies de commémoration du 65e anniversaire du Débarquement.

Ce jour de juin, le sergent-chef de l'armée des Etats-Unis Bernard Dargols ne l'oubliera jamais. Quand il pose le pied sur la plage d'Omaha, secteur de Saint-Laurent-sur-Mer, après trois jours de traversée le jeudi 8 juin 1944, les forces d'assaut américaines et britanniques ont déjà fait leur jonction à Port-en-Bessin. La plus grande opération de débarquement de l'histoire a commencé. Mais il n'en sait rien.

Comme ses camarades de la 2e division d'infanterie, sonnés par le fracas des obus de marine qui passent en hurlant au-dessus des péniches de transport de troupes, il pensait être le premier à débarquer et à attaquer les positions allemandes. Trop tard. Autour d'eux, le chaos. A pleine vitesse, des avions sillonnent le ciel. Partout sur le rivage, des centaines de blindés, de Jeep et de camions de transport jaillissent de la gueule ouverte des chalands de débarquement. A perte de vue, des colonnes de fantassins et des amoncellements de caisses d'approvisionnement de toutes sortes. Bernard n'en croit pas ses yeux.

A bord de sa Jeep, qu'il a baptisée « La Bastille », il traverse à fond de train la plage pour monter vers le front et Formigny, où le quartier général a été installé. Tout ce qu'il sait, c'est que sa division doit atteindre Saint-Vith, en Belgique, puis l'Allemagne, et que sa mission immédiate est de franchir les lignes pour rassembler des informations sur la situation militaire de l'ennemi. Rien d'autre. Une heure à peine vient de s'écouler depuis son arrivée en Normandie. Une heure que ce GI au passeport français attendait depuis l'armistice du 22 juin 1940 et l'humiliation de la défaite.

Son incroyable histoire commence à New York, où il habite alors depuis 1938, envoyé en stage par son père, un Parisien qui importe en France des machines à coudre américaines. Lorsque la France déclare la guerre à l'Allemagne, le 3 septembre 1939, Bernard Dargols a 19 ans. La débâcle, il l'apprend à la radio, la rage au cœur. La peur pour ses proches aussi. Très vite, il prend contact avec les représentants de De Gaulle à New York et fonde avec un ami l'association Jeunesse France libre, où il rencontre Françoise, qui deviendra sa femme après la guerre. Mais, dans l'usine où il travaille, la France est loin et ses amis américains le pressent de s'engager dans l'armée US. Ce qu'il finit par faire, en 1941.

Fin 1942, il rejoint Fort Dix dans le New Jersey pour faire ses classes. Puis il est envoyé en Caroline du Sud, à Camp Croft où il est rapidement orienté vers Camp Ritchie, dans le Maryland, pour être affecté au renseignement militaire. Il obtient la double nationalité (française et américaine) et quitte les Etats-Unis le 15 décembre 1943 pour le pays de Galles, au Royaume-Uni, où les préparatifs du Débarquement viennent de commencer. Affecté à l'Indian Head, la 2e divi-sion d'infanterie, Bernard participe à la formation des vagues d'assaut. Pendant des semaines, il prépare ses camarades à ce qui les attend en France.

En mai 1944, les rumeurs sont de plus en plus fortes. «L'attente était devenue très angoissante, raconte-t-il. On m'avait dit de dire que le Débarquement allait avoir lieu à Calais. Puis, le 4juin, nous avons quitté la base pour Cardiff et embarqué sur un Liberty Ship le lendemain. Nous étions en route pour la Normandie.» Il ira jusqu'en Allemagne en passant par Brest, Paris et Bastogne. En visite chez ses parents, il apprendra que son frère Simon s'est lui aussi engagé dans l'armée américaine et a débarqué en Provence. Un soldat parmi d'autres. En ce jour du 65e anniver-saire du Débarquement, face au président américain et aux nombreuses personnalités, entouré de ses proches, Bernard Dargols pensera à eux. A ces hommes qui, comme lui, ont choisi de prendre les armes en ces années terribles.

Après le journal d'extrême droite Minute qui rendait hommage à Kleber Haedens en novembre, puis le site de l'Action Française étudiante qui rendait un vibrant hommage à Philippe Juvin pour avoir "eu le courage" de nommer un nouveau collège du nom de Kleber Haedens voici que nous réalisons que, finalement, ce sont tous les journaux ou journalistes d'extrême droite qui saluent notre Kleber Haedens municipal.

Que Minute, l'Action Française, F.Desouche (France aux français), Royal artillerie, Les Epées, NovoPress, Zentropa (ultra-fasciste) et tous les autres rendent hommage à Kleber Haedens, dites Mr Juvin, cela ne vous étonne pas ?

Est-ce bien normal en 2009 que cette presse s'intéresse autant au nom de notre prochain collège, elle dont le fond de commerce habituel n'est pas la littérature ?

Monsieur Juvin, Professeur Juvin, candidat aux européennes et maire de La Garenne-Colombes, nous vous posons aujourd'hui quelques questions simples :

a) Pensez-vous que ce soit bien pour un collège de la République d'honorer un personnage qui n'est rien d'autre qu'une icône de l'extrême droite. Pour tous les autres, ce n'est un illustre inconnu.

b) Est-il si important pour la France de rendre hommage à cet homme-là que l'on soit obligé de faire de telles concessions à l'extrême droite ? Qu'a-t-il fait pour l'honnorer, cette république que Kleber Haedens détestait ?

c) Pensez-vous que le fait d'avoir aimé un livre pendant sa jeunesse soit un argument suffisant pour qu'un maire mette toute une ville en état de choc ?

REVUE DE PRESSE


P.-L., Moudenc, Rivarol, 27 mars 2009 

"Kléber Haedens se promène au travers des siècles avec une liberté extrême. Certains de ses choix pourront surprendre, et c'est heureux. (...) c'est ainsi que cette anthologie est des plus stimulantes."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Rivarol_(hebdomadaire)

Image Front National de Villeurbanne

"Haedens nous donne ici une leçon de patriotisme littéraire tout à fait acceptable."
J.C., Le choc du mois, avril 2009

http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Choc_du_mois

Qui recommande la lecture de Kleber Haedens ?

Pique-Nique républicain

La Garenne-Colombes

Place de la Liberté

3 juin à 19 heures

Liberté Egalité Fraternité

Tout est dit ! Tout est là.

Peut-être ne l'aviez vous pas encore remarqué, mais la devise de la République : Liberté Egalité Fraternité est apparue sur le fronton de la mairie de La Garenne-Colombes.

C'est l'occasion de faire la fête !

Lors d'un énorme pique-nique républicain place de La Liberté,  tous les Garennois et leurs amis sont les bienvenus.

Apportez votre sourire, ce que vous voulez à boire et à manger, nous fournissons les couverts et tout le reste … musique et bonne humeur.

C'est le 3 juin 2009 à partir de 19 heures, place de la Liberté (devant l'église St Urbain). Un mercredi, en semaine ? Oui, c'est fait exprès. Nous aimerions que soient présents le plus de Garennois possible, commerçants, parents et grands-parents, enfants bien sûr et enseignants.

Pourquoi des enseignants ?

Parce que si la devise figure désormais à sa place sur la mairie, dans trois mois, jour pour jour, ouvrira à La Garenne-Colombes un nouveau collège dont le nom actuel, Kleber Haedens (entériné par le Conseil général des Hauts de Seine) n'a lui, rien de républicain.
 

Kleber Haedens était un écrivain d'extrême droite qui buvait beaucoup trop et qui fut surtout rédacteur de la plupart des périodiques nationalistes, fascisants et antisémites des années 1930-1940, nous pensons qu'il y avait mieux pour notre ville.
 

Il ne s’agit pas d’une manifestation, juste d’un moment convivial où nous pourrons réaffirmer notre attachement à ces valeurs fondamentales, celles que nous aimerions transmettre à nos enfants, chaque jour, même (et surtout) quand ils sont au collège.

Venez nombreux, en famille, rencontrer vos voisins garennois, dans le plus pur esprit "village".

A mercredi 3 juin, 19 heures.

Collectif Républicain de La Garenne Colombes

Il est nécessaire de réintroduire les valeurs fondamentales de la République à l'école.

Qui dit cela ? Mais tout le monde, bien sûr !

Et bien, nous à la Garenne-Colombes, c'est sous le signe de l'Action Française que nous allons mettre nos enfants !

PAS POSSIBLE !